#TheSocialFailure how #BigBrother is #HackingYourBrain !!
Sociale Fêlure :
Voilà qui est désormais très clair, les réseaux sociaux qui sont partout, piratent nos cerveaux grâce à une manipulation simple (donc très efficace) qui est digne d’un bon hacker, ce fameux « Big Brother who whatching you ». Celui-ci se servirait de failles connues dans notre psycho-système d’exploitation cérébral afin d’en détourner l’usage naturel …
Comme nous serions tous un peu « fêlés », vulnérables, alors nous serions systématiquement « hackés » ! Avant de trouver la parade antivirale efficace découvrons comment çà marche :
La récompense par validation sociale…
Sean Parker (premier président de fb et fondateur de Napster) :
«Comment est ce qu’on absorbe le plus possible de votre temps et de votre attention consciente?»
Selon Sean Parker (ci-contre), Facebook serait conçu pour absorber le plus possible notre temps et notre attention, les responsables seraient parfaitement conscient d’exploiter comme une « vulnérabilité » humaine notre tendance naturelle a rechercher une forme de validation sociale.
« Nous donnions un peu de dopamine à l’utilisateur de temps à autre, lorsque quelqu’un like ou commente une photo par exemple. Ce qui vous donnera envie de poster plus de contenu, qui rapporteront plus de likes et de commentaires… »
C’est « La » fameuse « boucle de rétroaction de validation social » qui donne un ce petit coup de dopamine ,la fameuse hormone du plaisir (qui serait aussi, découverte récente celle de la peur). En effet, cette hormone stimule le “système de récompense” qualifié parfois de « système hédonique » et c’est pourquoi, cette molécule, peut donc nous rendre Accro aux plaisirs des réseaux sociaux ! Si nos interactions sociales sont positives et nous donnes en plus envies de rire, alors peut-être va s’ajouter un second effet « like-cool », la spéciale sécrétion d’endorphine au menu !Une autre hormone qui va passer rapidement dans le sang et soulager littéralement nos douleurs puisque cette hormone-là a une action antalgique !
Ce cocktail agirait-il telle une drogue ? ( Peut-être pas !). Mais c’est ainsi que l’interaction sociale est stimulée sur les réseaux sociaux.
Chamath Palihapitiya:
«Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social»
Pour Chamath Palihapitiya (ci-contre), ex vice-président de la croissance d’audience de Facebook et inventeur du pouce bleu («J’aime»), Facebook sapent les fondamentaux des interactions entre les gens ! Il a lui-même interdit à ses enfants d’utiliser cette « merde »,c’est ce qu’il a déclaré lors d’un débat au Stanford Graduate School of Business : « Vous en êtes peut-être pas conscient, mais vous êtes programmé, maintenant vous devez décider de votre indépendance intellectuelle »
Simon Sinek Témoigne durant l’émission
‘The Millennial Question’
Ci-dessous le Témoignage de Simon Sinek :
Les gens appartenant à la génération que l’on appel « Millenniale » n’ont cessé d’entendre qu’ils sont spéciaux, qu’ils pourront obtenir TOUT ce qu’ils veulent dans leurs vies, juste parce qu’ils le VEULENT …/… Ils décrochent un diplôme et un job, puis ils réalisent qu’ils ne sont pas spéciaux, leur mère ne peut obtenir aucune promotion, et d’ailleurs, tu ne peux pas l’obtenir juste parce que tu le veux. L’image de soi se retrouve brisée en un instant. Il y a donc une génération entière qui grandit avec moins d’estime de soi que la précédente !
Nous grandissons dans le monde de Facebook / Instagram, nous pouvons dire que nous mettons des filtres sur les choses. Nous excellons dans l’exercice de montrer aux autres à quel point notre vie est sensationnelle alors même que l’on est en dépression.
Maintenant ajoutons-y la technologie; l’implication dans les réseaux sociaux ainsi que nos téléphones entraînent la libération de dopamine. C’est la raison pour laquelle lorsque tu reçois un message : tu te sens bien. C’est pour cela que nous comptons les ‘likes’, car nous savons qu’en obtenir revient à libérer de la dopamine et on se sent bien. La dopamine est le même neurotransmetteur que celui de qui entrer en action et nous fait nous sentir bien lorsqu’on fume, on boit, en d’autres termes, c’est hautement, hautement addictif !!!
Trop d’enfants ignorent comment créer des relations profondes qui ont du sens. Ils admettraient volontiers que de leurs relations d’amitié sont superficielles et qu’ils ne comptent pas sur leur ami. Ils passent du bon temps avec leurs amis tout en sachant que ces mêmes amis les délaisseront si quelque chose de mieux se présente. Voilà pourquoi lorsqu’un important stress secoue leurs existences, ils ne se tournent pas vers des personnes, mais vers un appareil. À cela, s’ajoute l’impatience ; ils ont grandi dans un monde de gratification instantanée. Tu veux un rencard ? T’as même plus besoin d’apprendre comment être genre : fais juste défiler à droite et boom, t’es un tombeur ! Tu peux absolument tout avoir instantanément à l’exception de la satisfaction par le travail et des relations fortes pour lesquels il n’existe aucune application. Cette génération doit donc apprendre la patience, que les choses vraiment fondamentales comme l’amour, l’accomplissement par le travail, ou la joie sont des choses qui demandent du temps…
A suivre : L’Echec (du lien) Social : Comment les Bases de Données piratent notre Cerveau
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